« Au frais sous la tente, zippé derrière ma tulle, je mesure la correspondance aiguë qui accorde les ruines qui m’environnent à la chanson dont les paroles évoquent un amour blessé qui a du mal à se remettre d’une idylle déçue. Yolanda, Si no es por amor… Les airs de violon s’envolent dans l’air de (...)
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Radio Ibo (JM Théodat)