Et si la CNDDR encourageait la prolifération des gangs armés
Après la chute du président Jean-Bertrand Aristide le 29 février 2004, la capitale haïtienne allait basculer dans une vague d’insécurité tutoyant la terreur. Le rétablissement de l’ordre et de la sécurité était, comme aujourd’hui, l’urgente nécessité. Le gouvernement de transition dirigé par le Premier (...)
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