Le dernier Goncourt n’est pas une lecture de plage ni un cadeau de Noël. Il ne respire pas la joie de vivre, chaque page est sanglante. Il se lit en apnée pendant l’insomnie. On se lève à l’aube avec la boule au ventre et la bouche pâteuse. Bienvenue en enfer, bienvenue en Algérie; celle des (...)
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Hedy Belhassine