En traduisant » Guerre », Confiant fait du créole une langue de plein exercice
Lire Céline, en français, n’est pas forcément aisé. Il faut aimer la langue et l’écrivain qui joue avec. Il l’embellit parfois, mais la maltraite aussi, la déconstruit et la triture, découd la grammaire et invente des mots selon son plaisir et son imaginaire. Il fait » jazzer » la langue française. Alors (...)
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